Paracha Tétsavé / פרשה תצוה
Chabbat Za’hor / שבת זכור
10-11 mars 2017 – 13 Adar 5777 / י’ג אדר תשע’ז
Pourim / פורים
11-12 mars 2017 – 14 Adar 5777 / י’ד אדר תשע’ז
Chabbat des jeunes : A l’occasion du Chabbat des jeunes, la lecture de la Paracha et les offices seront assurés par les jeunes de la communauté.
Bné Akiva de Boulogne : Ce Chabbat, nous avons le plaisir d’avoir parmi nous le Bné Akiva de Boulogne. Ils prendront en charge les enfants entre Minha et Arvit Chabbat après-midi, et leur feront faire des activités sur le thème de Pourim.
Les Horaires :
Vendredi soir :
18h25 : Allumage des bougies de Chabbat (début de Chabbat à 18h29)
18h30 : Min’ha suivi de Chir Hachirim, Kabbalat Chabbat et Arvit
D’var Thora par le Rav Mikaël Mouyal
Samedi matin :
09h10 : Cha’harit
Lecture de la Paracha Za’hor. Selon l’opinion de la majorité des décisionnaire, la lecture de « Za’hor » est une obligation de la Thora. Il incombe à tout garçon de plus de 13 ans de se rendre quitte de cette Mitsvah. Selon le Sefer Hakhinoukh, et d’autres décisionnaires, les femmes et les enfants sont dispensés de cette Mitsvah, c’est pourquoi, les femmes qui s’efforcent de venir à la synagogue, écouter la Parachat Za’hor sont dignes de Bénédiction. (Halacha Yomit)
D’var Thora par le Rav Mikaël Mouyal
L’office sera suivi d’un Kiddouch communautaire.
Une deuxième lecture de la Paracha Za’hor aura lieu après l’office du matin, ainsi qu’après l’office de Min’ha l’après-midi, pour permettre à chacun, hommes ou femmes, grands ou petits de l’entendre.
Samedi après-midi :
17h45 : Téhilim – Lecture collective des Téhilim – Alpha/Beta
18h00 : Min’ha
Suivi de la séouda chélichit.
D’var Thora par le Rav Mikaël Mouyal
18h49 : Shquiya / שקעת החמה
Samedi soir :
19h37 : Fin de Chabbat
20h00 : Arvit, suivi de la première lecture de la Méguila
21h30 : Deuxième lecture de la Méguila
Dimanche matin :
08h00 : Cha’harit de Pourim avec lecture de la Méguila (vers 08h30)
10h00 : Deuxième lecture de la Méguila
12h00 : Troisième lecture de la Méguila
Carnet de familles :
Naissance :
Nous nous réjouissons de la naissance dimanche 5 mars (7 Adar) d’une petite Or Sim’ha chez Leslie et Moché BOCCARA. Nous souhaitons un grand Mazal-Tov aux parents et aux grands-parents, nos amis Aline et Josué BETTAN, ainsi qu’à toute la famille.
Nous avons la joie d’annoncer la naissance dimanche dernier 7 Adar 5777 d’un petit garçon chez Marina et Yona BOTBOL. Nous adressons un grand Mazal Tov aux parents, aux grands-parents Esther & Elie BOTBOL et Colette & David BITTON, aux oncles et tantes et à toute la famille.
Le Brit Mila aura lieu ב ה le jour de pourim, dimanche 12 mars à 11h45, à la Grande Synagogue de Boulogne (43 rue des abondances) et sera suivi d’une séoudat mitzva.
Conférence :
Venez nombreuses et nombreux assister à la conférence du Rav Benchetrit : “Heureux qui communique, entre émotions et sentiments dans notre tradition”
Dimanche 19 mars à 20h00, au 134 bis rue du Point du Jour, 92100 Boulogne Billancourt.
Entrée libre et public mixte. Un buffet suivra la conférence.
N’hésitez pas à partager et surtout à venir !
Pourim :
Cette année, Pourim tombe dimanche 12 mars. La lecture de la Méguila du soir aura lieu samedi soir 11 mars aprés Chabbat, celle du matin, dimanche matin 12 mars pendant l’office de Cha’harith.
Beth Hamidrach :
Le Rabbin Didier Kassabi donne un cours de Guemara pour jeunes adultes chaque lundi soir de 20h à 21h à la Synagogue de Boulogne Billancourt, 43 rue des abondances.
« Les AMIS de la REFOUA » – Visite aux malades :
Des bénévoles de Boulogne proposent aux personnes qui le demandent : l’organisation d’une chaine de lecture de Téhilims pour la guérison de nos malades, de prendre de leurs nouvelles et leur rendre visite dans les hôpitaux.
Ces actions se font dans la plus grande discrétion et s’inscrivent dans le cadre du bénévolat.
Vous pourrez joindre – les AMIS de la REFOUA – au 06.03.75.34.15, ou par courriel à : israelalbert1@gmail.com
Vous pouvez aussi faire partie de ces bénévoles, nous vous remercions par avance.
Sécurité SPCJ :
La sécurité est l’affaire de tous ! Le SPCJ a besoin de chacun d’entre nous !
La protection de la vie communautaire est plus que jamais l’affaire de tous ! Vous en êtes les premiers acteurs ! Votre mobilisation est essentielle et nécessaire !
Si vous souhaitez nous aider à assurer la protection de l’office, rapprochez-vous de nous !
Plus nous serons nombreux à nous mobiliser et assurer des relais de garde, plus nous passerons du temps à prier !
Information ACJBB Boulogne Sud :
Retrouvez toutes les informations de l’office sur : www.acjbb-sud.org.
Si vous souhaitez recevoir par mail la newsletter de l’office, inscrivez-vous en nous envoyant un mail à officeboulognesud@gmail.com.
Retrouvez également toutes les informations sur la page Facebook de l’office : facebook.com/acjbbsud.
Faire un don :
Pour faire vivre et participer activement à cet office, faites un don par internet ou envoyez vos chèques au 134 bis rue du Point du Jour. Toutes les participations sont bienvenues, les petits ruisseaux faisant de grandes rivières, nous parviendrons, tous ensemble, à faire vivre l’Office de Boulogne Sud.
Tizkou Lé-Mitsvot !!
Pourim by Pourimland :
Venez nombreuses et nombreux à la fête de Pourim organisée par PourimLand, et la communauté de Boulogne, dimanche 12 mars 2017, de 12h00 à 18h00, au gymnase Denfert Rochereau, 42 rue denfert rochereau, 92100 Boulogne Billancourt.
Dvar Thorah et enseignements :
par le Rav Mikaël Mouyal
Le coin ‘Hidouchim
« Ils prendront vers toi de l’huile d’olive pur bien concassé pour éclairer » :
Que signifie les termes « vers toi » ? Qu’apporte en plus cette précision ?
En fait, le Midrash explique que le peuple d’Israël est comparé à l’huile d’olive. En effet, pour obtenir de l’huile, il faut concasser et presser les olives. De même, lorsque le peuple Juif est “pressé” et subit des difficultés qui les “oppriment”, c’est dans cette situation (malheureuse) qu’ils se mettent à briller et à donner le meilleur d’eux-mêmes, à l’image de l’huile qui produit de la lumière.
L’homme qui se considérait le plus “brisé” et “concassé” des hommes, c’est à dire qui était le plus humble et modeste, était Moché, le plus humble de tous les hommes. Ainsi, cette huile d’olive “concassé” était rapproché « vers toi », vers Moché, car c’était lui qui réalisait le plus le message de cette huile d’olive concassé, par son humilité.
(Zeved Tov)
« Et toi (Moché), rapproche vers toi Aharon ton frère » :
Ce verset signifie que Moché doit rapprocher son frère Aharon pour le consacrer en tant que Cohen. Mais on peut y voir une allusion.
En effet, Moché était un homme qui tendait naturellement à quelque peu s’isoler et se consacrer aux méditations sur la Grandeur d’Hachem… Il n’était pas tellement mêlé au peuple. Aharon au contraire, l’homme de paix, avait cette capacité à se mêler au peuple et avait un relationnel extraordinaire. Ainsi, Hachem dit ici à Moché : « Rapproche vers toi Aharon », c’est à dire rapproche de toi sa qualité à vivre au sein même de la communauté. Adopte sa qualité de relationnel. Moché, en tant que dirigeant du peuple, doit aussi pouvoir se mêler à celui-ci. Un véritable leader d’Israël est celui qui se met à la hauteur de son peuple et se “mélange” à sa communauté pour vivre proche de chacun de ses membres.
(Rabbi Meïr de Primichlan)
« Le pectoral (‘Hochen) ne devait pas se séparer du Efod (un vêtement du grand Prêtre) » :
Le pectoral était le “vêtement” qui était placé sur le cœur du Cohen Gadol (grand Prêtre). De plus Efod (אפד (a la valeur numérique du mot Pé (פה – la bouche), soit de 85. Le verset fait donc allusion au fait que le cœur (allusion au pectoral) et la bouche (allusion au Efod) devaient être bien attachés ensembles pour ne pas se séparer. En effet, la bouche doit refléter ce que pense et ressent le cœur. Il ne doit pas y avoir de dissension entre eux. La bouche ne doit pas s’éloigner du cœur en disant ce que l’on ne ressent pas. Ce verset fait donc allusion à l’importance de prononcer uniquement des paroles vraies.
(Deguel Ma’hané Efraim)
« Tu feras un Tsits (une plaque) d’or pur » :
La Guemara explique que le Tsits venait expier l’insolence et l’effronterie. En effet, quiconque le voyait, se rabaissait immédiatement.
Il en venait à une profonde soumission au point d’en perdre son audace et son effronterie. Ainsi, le terme Tsits signifie aussi “ce que l’on voit”, comme dans le verset « Il observe (Metsits) entre les fentes ». C’est que le Tsits était conçu pour être observé. Car tout insolent qui le regardait en venait à se soumettre et à s’effacer.
(‘Hidouché Harim au nom du Zohar)
Le coin Halakha
Il est une Mitsva d’amplifier le repas (Michté) de Pourim. On peut s’en acquitter par un seul repas. A priori, ce repas doit être pris avec du pain (Motsi). Il convient de prendre de la viande et de grandir ce repas selon ses moyens par de bons mets. On boira aussi plus de vin que l’habitude. A priori, on devra manger de la viande rouge, car certains pensent que l’on n’est pas quitte avec de la volaille ou du poisson. Les femmes aussi sont tenues à cette Mitsva du Michté, mais elles ne boiront qu’un peu de vin.
Le Michté doit être pris le jour de Pourim (cette année le dimanche 12 mars). Si on le prend la nuit de Pourim (cette année à la sortie de Chabbat), on n’en sera pas quitte. Mais malgré tout, en dehors de ce principe, il est bon de prendre aussi un bon repas la nuit, où il sera bon de consommer du riz.
Il est préférable de prendre le Michté de Pourim avec famille et amis, dès le matin, bien qu’on en sera quitte si on le prend toute la journée. On devra à tout prix avoir commencé une partie du Michté avant le coucher du soleil (cette année avant 18 h 51).
Même un endeuillé dans les 12 mois pour ses parents, pourra assister à un Michté avec des amis en dehors de chez lui, mais il n’aura pas le droit d’écouter de la musique.
Celui qui sait qu’en buvant du vin il perdra de la vigilance pour une Mitsva, comme pour le Birkat Hamazon par exemple, ne devra boire que très peu de vin. Ce repas doit être accompagné de paroles de Thora ainsi que de chants et louanges pour Hachem. De même, il est bon d’étudier la Thora une heure avant le Michté.
On mentionne le “Al Hanissim” dans le Birkat Hamazon. Celui qui l’a oublié et a déjà prononcé le nom de Hachem de la bénédiction qui suit (Baroukh Ata Ado – Nay Al Haarets Véal Hamazon), ne se rattrapera plus et continuera le Birkat Hamazon.
Le coin discours
Après avoir développé le sujet des vêtements du Cohen ainsi que des sacrifices inauguraux du Michkan, la Thora parle de l’autel des encens. De ce fait, les commentateurs s’interrogent. Pourquoi l’autel des encens n’est pas décrit dans la Paracha de la semaine dernière Terouma avec tous les autres ustensiles du Michkan ? Pourquoi cet autel a été séparé et déconnecté des autres ustensiles du Michkan pour être rapporté à la fin de Tetsavé ?! De nombreuses réponses ont été apportées, mais nous allons en développer qu’une partie.
Tout d’abord, le Ramban et le Seforno pensent que le Michkan est le lieu où va reposer la Gloire et la Sainteté d’Hachem. Pour ce faire, il fallait construire le Michkan avec les objets qui s’y rattachent. C’est par cela que la Présence Divine pourra résider au sein du peuple Juif. Une fois tous les objets réunis, la Chekhina (Présence Divine) pourra s’installer dans le Michkan. Seulement, pour obtenir ce but, l’autel des encens n’était pas nécessaire. On n’avait pas besoin de lui pour attirer la Chekhina. Tous les autres objets étaient nécessaires pour cela sauf cet autel. C’est pourquoi, on n’en parle que à la fin de la Paracha de Tetsavé, après tous les objets, tous les vêtements et tous les sacrifices d’inauguration. C’est à dire même après que soit dit le verset : « Je résiderai au sein des enfants d’Israël… ». Car la Résidence de la Chékhina n’a pas besoin de l’autel des encens. C’est pourquoi cet autel vient à la fin.
Alors se pose la question de savoir pourquoi avoir besoin de cet autel. C’est sur ce point que discutent le Ramban et le Seforno.
Selon le Ramban, on en avait besoin pour repousser les épidémies. Car l’encens vient compenser la rigueur Divine Qui s’abat lors des fautes. En effet, il est nécessaire que s’abatte la Rigueur Divine en cas de faute pour rétablir l’Honneur d’Hachem, car la faute est une atteinte à cet Honneur. Ainsi, quand Hachem punit, les hommes ressentent la Gloire d’Hachem car ils ont alors peur de fauter. Les encens permettent de rétablir cet Honneur pour compenser la Rigueur Divine de la punition. Ils dispensent donc et préservent des fléaux. C’est pour ce but que la Thora demande de concevoir l’autel des encens. C’est pour rétablir l’Honneur d’Hachem. Après avoir parlé de l’Honneur Divine qui s’installe dans le Michkan, la Thora traite de cet Honneur qui est proclamé autrement, par les encens.
Le Seforno quant à lui explique qu’une fois l’Honneur Divine installé dans le Michkan, viennent les encens pour donner et transmettre de l’Honneur à cette Chekhina qui réside déjà grâce à tous les autres éléments du Michkan réunis.
Le Ohr Ha’haïm quant à lui explique que l’autel des encens vient à la fin pour faire allusion au fait que le roi Chelomo, lorsqu’il construisit le premier Temple, a utilisé tous les ustensiles du Michkan, en plus de ceux qu’il construisit lui-même, sauf l’autel des encens. Ainsi, il construisit plusieurs autres candélabres et d’autres tables, mais malgré tout, il utilisa aussi la Ménora (candélabre) et la table du Michkan. De même, il construisit un autre autel des sacrifices car celui du Michkan s’avérait trop petit et il ne pouvait plus l’utiliser. Enfin, il ne pouvait plus utiliser les tentures du Michkan puisque le Temple n’était pas une tente mais une maison en pierre et en bois. En revanche, il construisit un autre autel des encens et n’utilisa pas celui du Michkan, bien que celui-ci faisait parfaitement l’affaire. C’était pour faire une allusion à ce fait qui allait avoir lieu dans le futur que la Thora (qui prévoit le futur à l’avance) plaça l’autel des encens tout à la fin.
D’un point de vue un peu plus moral, le Mé Hachiloa’h explique que le mot Ketoret (encens) vient de l’araméen pour signifier “attachement”. Par les encens, on reliait et on attachait toute la création avec le Créateur. On proclamait par cela que « Tout vient du Ciel ». Rien n’est fortuit et tout provient de la Volonté Divine. Mais pour ne pas en venir à commettre l’erreur de penser que même nos actions, bonnes ou mauvaises, viennent d’Hachem, annulant par cela le libre arbitre, c’est pour cela que l’autel des encens vient à la fin. Certes « tout vient du Ciel ». Seulement, n’oublions pas la fin de cette phrase : « Sauf la Crainte du Ciel ». L’homme dispose bien du libre arbitre. Les vêtements des Cohanim (prêtres) symbolisent cette Crainte du Ciel. Car, comme le dit la Guemara, chaque vêtement vient expier une faute différente. De plus, quand on a peur, on se cache. S’habiller est un moyen de se cacher, d’exprimer la crainte d’Hachem. C’est pourquoi, l’autel des encens est enseigné après les vêtements des Cohanim. Car, il n’est possible de tout relier à Hachem par les encens que lorsqu’on sait, par les vêtements, que la crainte du Ciel est entre les mains de l’homme et non d’Hachem.
Enfin, le Rav Pinkous explique que tous les objets du Michkan symbolisent le travail spirituel pour Servir Hachem. Ainsi, l’arche sainte symbolise l’étude de la Thora, le candélabre représente l’acquisition de la Sagesse, la Table fait allusion à la retenue dans les plaisir (car c’est sur la table que l’on mange), l’autel des sacrifice est une allusion au fait de sacrifier son animalité… Tout cela représente un travail ardu et difficile. On risque alors de se dire qu’on ne voit pas le bonheur et le plaisir que cela apporte. A quoi bon de s’adonner à un tel travail ?!
C’est pourquoi l’autel des encens est cité tout à la fin. Car les encens diffusent une très bonne et agréable odeur. La Thora vient nous dire qu’à la fin du travail spirituel, l’homme en viendra à ressentir un profond plaisir et un bonheur indescriptible. Après tous les ustensiles, après les efforts, vient la récompense : les encens, représentant le plaisir qui est réservé à celui qui s’adonne à ce travail.
Le coin histoire
Déjà quelques semaines avant Roch Hachana, le visage du Rav de Brisk changeait d’apparence. Il disait aux membres de sa famille : « Lorsque je pense au jour du jugement, je ne peux plus ressentir d’intérêt pour rien dans le monde ».
A la sortie de Kippour, son corps continuait à trembler encore pendant une longue heure du fait de la crainte du jugement au point que ses enfants étaient contraints de le forcer à manger.
L’introspection ne le quittait jamais, il était tout le temps en train de se remettre en question et à réfléchir sur son comportement.
Lors des guerres pour l’indépendance de l’état d’Israël, lorsque le sang des Juifs coulait comme de l’eau, un de ses proches lui dit que toutes les souffrances du peuple Juif viennent du fait de la multiplication des profanations de Chabbat en Terre Sainte.
Le Rav lui répondit : « Le prophète Yona se trouvait sur un bateau où tous les voyageurs étaient idolâtres. Malgré cela, lorsque la tempête sévit, il dit : “Jetez-moi à la mer pour qu’elle se calme car je sais que cette grande tempête vient de ma faute” ». Ainsi, il peut y avoir une situation où tout le monde est idolâtre. Mais lorsqu’il y a des épreuves, il faut penser que “cette grande tempête vient de ma faute”.
Telle est la réflexion d’un grand d’Israël. Ne pas reporter la faute sur autrui. Lorsqu’il arrive des souffrances, chacun doit soi-même se remettre en question et ne voir la responsabilité que sur soi-même.
Chabbat Chalom et Pourim Saméa’h !!