Paracha Béhar-Bé’houkotaï / פרשה בהר – בחקתי
Chabbat Mévaré’him / שבת מברכים
19-20 mai 2017 – 24 Iyar 5777 / כ’ד אייר תשע’ז
Bné Akiva : Cette semaine, les Madré’hims du Bné Akiva seront présents à partir de 19h15 afin de proposer des activités à tous les enfants avant Min’ha, pendant le cours du Rabbin.
Les Horaires :
Vendredi soir :
19h15 : Min’ha suivi de Chir Hachirim, Kabbalat Chabbat et Arvit
20h10 : Allumage des bougies de Chabbat (heure maximum pour l’allumage : 21h12)
D’var Thora par le Rav Mikaël Mouyal
Samedi matin :
09h10 : Cha’harit
D’var Thora par le Rav Mikaël Mouyal
L’office sera suivi d’un Kiddouch communautaire.
Samedi après-midi :
19h15 : Cours par le Rav Mikaël Mouyal
20h30 : Téhilim – Lecture collective des Téhilim – Alpha/Beta
20h45 : Min’ha
Suivi de la séouda chélichit offerte conjointement par David ISRAEL pour l’année (les 11 mois) de son frère Itshak ben Rahamim ISRAEL ז’ל et par Marcel NANICHE pour la hazkarah de son papa Moché ben David NANICHE ז’ל.
D’var Thora par le Rav Mikaël Mouyal
21h32 : Shquiya / שקעת החמה
Samedi soir :
22h32 : Fin de Chabbat, Arvit et Havdala
Dimanche matin :
08h00 : Cha’harit, suivi d’un petit déjeuner offert par Marcel NANICHE pour la hazkarah de son papa Moché ben David NANICHE ז’ל.
Yom Yérouchalaïm :
Le 50ème aninversaire de la réunification de Jérusalem aura lieu mercredi 24 mai (28 Iyar).
Roch ‘Hodech Sivan :
Roch ‘Hodech Sivan aura lieu vendredi 26 mai (à partir de jeudi 25 mai au soir).
Beth Hamidrach :
Le Rabbin Didier Kassabi donne un cours de Guemara pour jeunes adultes chaque lundi soir de 20h à 21h à la Synagogue de Boulogne Billancourt, 43 rue des abondances.
« Les AMIS de la REFOUA » – Visite aux malades :
Des bénévoles de Boulogne proposent aux personnes qui le demandent : l’organisation d’une chaine de lecture de Téhilims pour la guérison de nos malades, de prendre de leurs nouvelles et leur rendre visite dans les hôpitaux.
Ces actions se font dans la plus grande discrétion et s’inscrivent dans le cadre du bénévolat.
Vous pourrez joindre – les AMIS de la REFOUA – au 06.03.75.34.15, ou par courriel à : israelalbert1@gmail.com
Vous pouvez aussi faire partie de ces bénévoles, nous vous remercions par avance.
Sécurité SPCJ :
La sécurité est l’affaire de tous ! Le SPCJ a besoin de chacun d’entre nous !
La protection de la vie communautaire est plus que jamais l’affaire de tous ! Vous en êtes les premiers acteurs ! Votre mobilisation est essentielle et nécessaire !
Si vous souhaitez nous aider à assurer la protection de l’office, rapprochez-vous de nous !
Plus nous serons nombreux à nous mobiliser et assurer des relais de garde, plus nous passerons du temps à prier !
Information ACJBB Boulogne Sud :
Retrouvez toutes les informations de l’office sur : www.acjbb-sud.org.
Si vous souhaitez recevoir par mail la newsletter de l’office, inscrivez-vous en nous envoyant un mail à officeboulognesud@gmail.com.
Retrouvez également toutes les informations sur la page Facebook de l’office : facebook.com/acjbbsud.
Réservation des espaces communautaires :
Vous souhaitez organiser une manifestation (Brith-Mila, Bar-Mitsvah et Bat-Mitsvah, Mariage, Azkara, Soirée Mikvé Kala, etc… ) dans les espaces de la Synagogue de Boulogne, 43 rue des Abondances, contactez M. Alain Chicheportiche 06.95.62.58.41 – alainchicheportiche92@gmail.com
Vous souhaitez réserver la salle de Boulogne Sud, 134 bis rue du point du jour Boulogne Billancourt, contactez M. Patrick Sebban 06.03.02.30.78 – patrick.sebban2@paris.fr
Faire un don :
Pour faire vivre et participer activement à cet office, faites un don par internet ou envoyez vos chèques au 134 bis rue du Point du Jour. Toutes les participations sont bienvenues, les petits ruisseaux faisant de grandes rivières, nous parviendrons, tous ensemble, à faire vivre l’Office de Boulogne Sud.
Tizkou Lé-Mitsvot !!
Atelier de cuisine pour Chavouot :
A l’occasion de Chavouot qui arrive à grands pas, nous organisons un atelier de cuisine dimanche 28 mai 2017 à 19h30.
Attention, c’est uniquement sur réservation, seules les 25 premières inscrites pourront participer !
Appelez sans plus attendre pour réserver au 06.15.87.71.24
Le Centre Aéré du CCIBB :
Les directeurs du Centre de loisirs Anne Marie Amsallem et Jonathan Cahen, ainsi que la fantastique équipe d’animation accueilleront pour les prochaines vacances du 10 au 28 juillet 2017 vos enfants de 5 à 12 ans dans une ambiance juive exceptionnelle !!
Au programme : Château de Breteuil, parc Asterix, la Cité des Sciences, Parc St-Paul, Cité médiéval de Provins, accrobranches, stages de Hi-Hop et de Zumba, et pleins d’autres activités !!
Plus d’informations sur ccibb.net.
Spectacle pour Yom Yérouchalaïm :
A l’occasion du 50ème anniversaire de la réunification de Jérusalem, le CCIBB en partenariat avec le KKL vous invitent à célébrer Yom Yérouchalaïm le dimanche 28 mai 2017 à 16h00, à l’espace Bernard Palissy (anciennement Théâtre de l’Ouest Parisien), 1 place Bernard Palissy, 92100 Boulogne Billancourt.
Avec la participation de David Hababou, et d’autres surprises vous attendent !!!
Plus d’informations sur ccibb.net.
Envoyez vos enfants en colonie avec le Bné Akiva :
Envoyez vos enfants en colonie avec le Bné Akiva afin de leur faire vivre une expérience unique dans une ambiance exceptionnelle !!
Renseignements et inscriptions : 01.40.40.13.44 – 06.98.55.77.91 ou bneakivafrance@gmail.com
Dvar Thorah et enseignements :
par le Rav Mikaël Mouyal
Le coin ‘Hidouchim
« La terre se reposera d’un Chabbat pour Hachem » (25, 2) (Behar) :
Le sens de l’année de la Chemita est de permettre à la terre de se reposer. L’une des raisons à ce repos est de lui permettre de corriger tous les Chabbat où elle a produit. En effet, même si l’homme ne travaille pas le Chabbat, malgré tout la terre continue à produire. Or, une année est constituée de 365 jours, comprenant 52 Chabbat. Ainsi, en 7 ans, il y a donc 364 jours de Chabbat, soit une année. Et puisque même pendant ces jours de Chabbat la terre a continué à produire, elle doit donc se reposer pendant toute la septième année composée de 365 jours, pour réparer ces Chabbat où elle ne s’est pas complètement reposée. Et même pendant l’année de Chemita la terre continue encore à produire même pendant les Chabbat de cette année, soit encore 364 jours sur sept Chemitot, d’où l’année du Yovel qui suit les 7 années de Chemita, pour réparer les Chabbat des années de Chemita où elle a encore produit.
(Maté Moché)
« Qu’un homme ne trompe pas son prochain » (28, 17) (Behar) :
La Thora a interdit à une personne de tromper son prochain. Cependant, un homme pieux doit agir au delà de la loi stricte et doit aussi s’interdire de se tromper et de s’induire en erreur à soi même également. Il lui est donc ainsi interdit de s’illusionner et s’imaginer qu’il a atteint des niveaux spirituels supérieurs au niveau où il est réellement. Le fait de se prendre pour qui on n’est pas vraiment est aussi une façon de se tromper et s’induire soi même en erreur.
(Rabbi Bounam de Pchis’ha)
« Si vous marchez dans Mes Lois… Je donnerai vos pluies à temps, et la terre donnera sa récolte » (26, 4) (Bé’houkotaï) :
De la même façon que par le fait que « Je donnerai vos pluies à temps », alors « la terre donnera sa récolte », car cela est une loi qu’Hachem a fixé dans la nature, ainsi exactement de la même façon, il est une loi fixée dans la nature que « Si vous marchez dans Mes Lois », alors « Je donnerai vos pluies à temps ». La bénédiction ne peut réellement intervenir que par le respect de la Thora et des Mitsvot.
(Le Sabba de Slavodka)
« Vous mangerez votre pain à satiété » (26, 5) (Bé’houkotaï) :
La nourriture, qui se dit en hébreu “מאכל (Maakhal)”, c’est quelque chose de grand. Celui qui mange dans la sainteté peut transformer la nourriture de “מאכל” en “מלאך”, qui signifie “un ange”, qui représente un être très élevé. De même, avant de consommer du pain, on récite la bénédiction : “Qui fait sortir le pain de la terre”, c’est à dire qu’en mangeant le pain comme il se doit, on fait “sortir” ce pain de la “terre”, c’est à dire de sa dimension terrestre et de sa matérialité, pour en faire une entité spirituelle et céleste.
(Tsema’h Tsedek)
« Je briserai le génie de votre puissance » (26, 19) (Bé’houkotaï) :
Cette malédiction qu’Hachem brisera le génie du peuple d’Israël comporte, comme toutes les autres malédictions, un point positif.
En effet, quand une personne faute, l’impact et les conséquences de cette faute, dans ce monde matériel ainsi que dans tous les mondes spirituels, sont tellement graves et terribles, que si ce pêcheur en avait conscience, il ne pourra plus continuer à vivre comme avant, car il en serait détruit. Hachem, dans Sa Bonté, annonce qu’Il brisera le génie des Juifs. Ainsi, leur intelligence et leur niveau de perception une fois réduites, le pêcheur ne saura plus mesurer l’impact de sa faute qui lui en sera complètement occulté. Cela lui donnera la possibilité de continuer à vivre de façon sereine et équilibrée, même après sa faute. Il pourra la supporter.
(Agra DeKalla)
Le coin Halakha
Quelqu’un qui se tient à côté d’une personne qui récite la Amida, et qu’il parvient à entendre sa Amida bien qu’il la récite à voix basse, du fait qu’il chuchote, devra répondre Amen aux bénédictions. Et bien que l’on puisse dire que, comme celui qui prie ne doit pas faire entendre sa voix aux autres, ainsi il est en tord et on ne devrait peut-être pas répondre Amen à une bénédiction que l’on n’aurait pas dû entendre. Malgré tout, puisqu’une bénédiction de la Amida qui serait audible aux autres est tout de même à posteriori valable et il en est quitte, c’est pourquoi on devra répondre Amen à cette bénédiction.
Il est bon de mentionner, à la fin de la Amida, après le texte de Elokay Netsor, un verset de la Bible qui commence par la première lettre de son prénom et se termine par la dernière lettre de son prénom. Rachi dans son commentaire du chap. 6 verset 9 de Mikha, écrit : « Quiconque dit un verset qui commence et se termine par les lettres qui débutent et achèvent son nom, la Thora le sauve de l’enfer ». Le Eliya Rabba écrit qu’il est bon de se conduire de la sorte.
Il est interdit de prononcer des paroles inutiles entre la fin de sa Amida à voix basse et la répétition de la Amida par l’officiant. Mais il est autorisé de dire des versets de Thora ou même de prononcer des paroles et enseignements de Thora. Malgré tout, celui qui souhaite étudier, il est bon qu’il le fasse en consultant le livre par la pensée, sans prononcer les mots. Il est même louable de faire cela pour ne pas perdre son temps en attendant la répétition de la Amida. Même l’officiant pourra étudier par la pensée. Seulement il ne pourra pas prononcer les mots pour ne pas s’interrompre entre sa Amida et la répétition, et même par des mots de Thora.
Le coin discours
La Paracha de Behar traite dans son début de l’année de la Chemita. Toute la septième année, en Terre Sainte, il est interdit de travailler la terre. Tout agriculteur devra laisser sa terre abandonnée pendant toute une année. La Thora vient alors anticiper un éventuel doute de celui-ci et précise : « Et si tu dis : “Que mangerons-nous…, voilà nous ne sèmerons pas et n’engrangerons pas notre récolte ?” J’ordonnerai alors ma bénédiction pour vous la sixième année et elle produira de la récolte pour trois ans ! »
Une question se pose à la lecture de ce verset. En effet, le Texte laisse sous-entendre que la bénédiction viendra secourir l’homme, s’il demande qu’est-ce qu’il mangera, c’est à dire s’il manque de confiance en Hachem. Cela paraît étonnant. Normalement la bénédiction devrait venir trouver celui qui ne demande rien et qui place sa confiance dans le Créateur, et non celui qui doute et s’interroge ?! Deux directions de réponse sont proposées pour répondre à cette question.
La première est proposée par Rabbi Zoucha d’Anipoli. Il explique que celui qui a une confiance simple en Hachem et ne pose aucune question, sera automatiquement béni. En effet, la foi en Hachem constitue un canal pour que le Flux Divin de bénédiction puisse s’épancher. Comme le dit le verset : « Béni soit l’homme qui place sa confiance en Hachem ». La foi relie l’homme à Hachem au point de lui permettre d’attirer vers lui Ses Bienfaits. Cependant, celui qui doute et se questionne pour savoir ce qu’il va manger, alors ce doute brise ce canal et empêche la bénédiction de venir. Ainsi, Hachem prévoit que si quelqu’un se pose la question, alors « J’ordonnerai Ma Bénédiction ». En effet, puisque le canal naturel de bénédiction constituée par la Emouna (confiance) a été rompu par le doute, Hachem a besoin à présent « d’ordonner Sa bénédiction », c’est à dire d’obliger et de “forcer” à Sa Bénédiction de venir pour cet homme, pour que malgré tout il puisse avoir de quoi vivre suite au respect de la Chemita. Ce ne sera plus la bénédiction naturelle qui viendra, mais un nouveau type de bénédiction de “rattrapage” qu’Hachem aura besoin de créer spécialement pour cette personne. Sans Emouna, il ne peut y avoir de réelle bénédiction. Hachem doit alors provoquer le Flux Divin pour lui.
La deuxième réponse proposée par les commentateurs se base sur les paroles de Rachi sur le verset qui vient juste avant notre verset et selon lequel si vous respectez Mes Lois, alors « la terre donnera ses fruits et vous mangerez à satiété ». Rachi explique que même dans le ventre résidera la bénédiction. Cette bénédiction du “ventre” est définie par un autre enseignement de Rachi à la Paracha de Bé’houkotaï, sur le verset : « Vous mangerez votre pain à satiété ». Rachi explique : « Il mangera peu et la nourriture sera bénie dans son ventre ». D’après cela, les commentateurs expliquent que celui qui a la Emouna et ne pose pas de question, méritera cette bénédiction qualitative. Effectivement, la sixième année ne produira pas plus de récolte que la normale. Seulement, la bénédiction sera telle que cette simple récolte suffira pour les trois ans à venir. Il méritera que la nourriture soit bénie dans son ventre et le peu qu’il mangera le contentera amplement.
En revanche, celui qui s’inquiète et commence à avoir des doutes, cela signifie qu’il a du mal à placer sa confiance sur ce qu’il ne voit pas et ne comprend pas. Alors Hachem lui donnera une bénédiction d’une gamme inférieure, une bénédiction selon son niveau et selon ses doutes, à savoir une bénédiction quantitative. La production de la sixième année produira de la récolte pour trois ans. Lui qui a besoin de voir pour être rassuré, Hachem lui donnera de quoi voir et il bénéficiera de cette bénédiction quantitative, à savoir tangible et visible. Cette bénédiction est aussi d’un niveau inférieur à la bénédiction qualitative car qui dit grande production, dit nécessité de tout engranger, de tout conserver… Et cela crée plus de soucis. Cela, à l’opposée de celui qui a confiance en Hachem, qui aura une bénédiction à son niveau. Il place sa confiance même s’il ne voit pas, c’est ainsi que la bénédiction qu’il recevra ne sera pas visible. C’est la qualité profonde et cachée de la récolte qui grandira. Cette bénédiction est hautement mieux.
Enfin, rapportons l’opinion du Rabbi de Loubavitch qui explique qu’en réalité la question du départ ne se pose même pas. En effet, cette question de : « Que mangerons-nous ? » dont parle ici la Thora n’exprime en réalité aucun doute en Hachem. La Thora ne parle pas ici de quelqu’un dont la Emouna est faible. Ainsi, cette interrogation ne doit pas s’expliquer comme l’expression d’un doute, mais plutôt comme une volonté d’approfondir et de mieux comprendre la Providence Divine, ce qui est en soit louable, car Hachem souhaite qu’on appréhende et que l’on comprenne Ses Voies. Cet homme évoqué dans le verset est sûr que Hachem le gratifiera de Sa Bénédiction et qu’Il ne l’oubliera pas. Il dispose d’une Emouna totale. Sa question doit en fait se comprendre dans le sens : « Par quelle voie et quelle façon nous mangerons », c’est à dire « quelle mode de bénédiction Hachem emploiera-t-il pour nous nourrir ? » Hachem dispose de multiples voies. S’Il le souhaite, Il pourra même nous faire descendre de la Manne du ciel pour nous nourrir suite à la Chemita. Aucun doute n’est émis. Juste une simple volonté de comprendre le chemin qu’Hachem va utiliser pour les bénir. A cela, Hachem répond : « J’ordonnerai alors ma bénédiction pour vous la sixième année et elle produira de la récolte pour trois ans ! » Telle sera la voie qu’Hachem emploiera. Bénir la production de la sixième année, pour qu’elle produise pour trois ans.
Le coin histoire
Après le mariage du Avné Nézer avec la fille du Rabbi de Kotsk, ce dernier dit au père de son gendre que son fils (à savoir le Avné Nezer) dispose d’une grande force dans sa prière et qu’il craint que cela soit nuisible à sa force de réflexion.
Ces propos du Rabbi de Kotsk paraissaient étonnant jusqu’à ce que le Avné Nézer les expliqua. Il dit :
« Cela fait quelque temps, je disposai d’une montre avec laquelle j’organisais mon programme d’étude et de Service de Hachem. Un jour, la montre s’abîma et ne fonctionnait plus et je n’avais pas d’argent pour la réparer ou en racheter une autre. Aussi, j’adressai mes prières à Hachem et ma demande fut à l’instant même exaucée, la montre se remit à fonctionner. J’en déduisit que mes pleurs avaient un impact En-Haut, et depuis lors, je me mis à prier et pleurer à chaque fois que je me confrontais à une difficulté dans mon étude. Et du Ciel, on éclairait alors mes yeux. Mon beau-père, le Rabbi de Kotsk, remarqua cela et il commença à craindre que cela nuise à mon esprit. En effet, l’essentiel est d’acquérir la Thora par l’investissement et les efforts intellectuels mis dans la Thora, et non essentiellement par le biais de la prière.
En plus de nous apprendre la force extraordinaire des prières adressées à Hachem, qui permettent de trouver de réelles solutions à nos difficultés, cette histoire nous enseigne aussi combien il est important de fournir des efforts dans l’étude. C’est cela l’essentiel de l’étude, encore plus que d’obtenir la compréhension à travers les prières.
Chabbat Chalom !!